Craignez le bruit des sabots par les nuits de lunes claires…

Craignez le bruit des sabots par les nuits de lunes claires…

25 février 2019 0 Par Elwood Bob

Bonjour à tous !

Et oui, j’ai dérogé à la règle d’une publication par semaine depuis que j’ai rouvert ce blog. Et pour cause, je suis en travaux/déménagement ces derniers temps, ce qui a eu pour effet de m’éloigner de mes crayons/pinceaux depuis près de 3 semaines. Et les choses n’étant pas terminés, je risque de ne pas retrouver un établi de travail avant un moment…

Mais bon, ne boudons pas notre plaisir et profitons de cette semaine et du calme d’une soirée pour découvrir les derniers nouveaux venus de ma petite armée elfique ! Cette semaine, je vous présente une unité puissante des elfes, l’élite parmi l’élite ! Les Cavaliers Sauvages de Kurnous, accompagné d’un seigneur elfe à cheval  !

Si vous entendez le cor, c’est qu’il est trop tard !

Les Cavaliers Sauvages de Kurnous forment la garde personnelle d’Orion, et chacun d’eux est aussi agressif et impulsif que son maître. Ce sont des créatures aussi mystérieuses que dangereuses, qui ne sont plus vraiment les Elfes Sylvains qu’ils étaient jadis. Désormais, ils ne font qu’un avec la Chasse Sauvage. En vérité, les Cavaliers Sauvages sont si étrangers aux autres Elfes que peu de leurs compatriotes osent encore leur adresser la parole, et encore moins critiquer leurs actes, car la puissance dont ils sont investi a fait de ces guerriers des Esprits de la Forêt autant que des Elfes. 

Comme d’habitude chez les elfes sylvains, on a là des poses très dynamiques !

L’apparence des Cavaliers Sauvages est une réminiscence des jours anciens des Elfes. Leurs armes sont en fer, voire en silex ; leurs tuniques et armures cérémonielles ne sont guère plus que des peaux des bêtes tuées pendant leurs chasses sacrées. Pourtant leur allure évoque indéniablement une noblesse surnaturelle : le pouvoir de Kurnous coule en eux aussi sûrement que dans le corps d’Orion.

La Chasse appelle ! Gare à qui se trouve sur sa route !

La voie des Cavaliers Sauvages est un chemin sans retour, mais aucun guerrier ne saurait en refuser l’appel, car il s’agit du plus grand honneur qui puisse lui être accordé.

Lorsque l’hiver fait place au printemps et que commence le rituel du renouveau, les Cavaliers Sauvages dirigent la cérémonie, et répètent leur serment d’allégeance au roi. Au cours d’une nuit de magie et de terreur, où les spectres et les cris étranges hantent les clairières, le seigneur d’Athel Loren se relève de son lit de mort. Le cor d’Orion retentit dans la plaine sauvage et la chasse reprend de plus belle. Athel Loren tremble comme les pas d’Orion tonnent dans la forêt, gagnant en fougue et en troupe à chaque foulée. Les Cavaliers Sauvages, rendus plus forts et plus féroces par l’éveil de leur maître, galopent dans son sillage. Leurs montures ne sont pas des bêtes mortelles, mais des Coursiers de Kurnous : des avatars de la chasse aussi infatigables que les Elfes qu’ils emportent à la bataille.

Ils se précipitent à l’appel du Maître de la forêt. Le puissant Kurnous !

Et voilà donc un nouveau régiment de cavaliers terminé ! Tout comme celui des Chevaliers Sylvestres, il m’aura pris un sacré temps. Les chevaux sont très longs à peindre (ou alors je m’y prends mal…). Une unité classique dans ses couleurs, des tons de vert, de l’or (comme la Garde Éternelle), beaucoup de peau nue. La nouveauté tient surtout aux capes de fourrures de loup qui rajoute une nouvelle teinte, mais rien de fulgurant. On a tout-de-même au final, un bien beau résultat pour une unité pleine de vigueur et d’élan. Une puissance sur laquelle il faut compter !

Un noble plein de panache !

Et que serait une telle unité sans un seigneur pour les guider sur les pas d’Orion et de la Chasse Sauvage ! Une place de choix pour ce Seigneur Sylvain et sa noble monture elfique.

Oui la robe est tachetée. J’aime bien les tâches. Les arabesques aussi d’ailleurs. Noble oblige !


La cape du personnage aurait pu voler un peu plus au vent. Du coup contrairement à tous les cavaliers de l’armée, on a l’impression que ce noble marche au pas…

Alors certes, il est plus vêtu que les Cavaliers Sauvages, mais bon, il doit s’adapter à n’importe quel régiment où on le place et il dispose quand même des attributs de ces derniers : fourrure dans le dos, casque en or/cuivre, crâne-trophée pendu à la ceinture, une lance. Tout est là !  

La crinière du cheval est tout de même attachée de manière bien étrange…


Bien sûr on est chez les elfes sylvains. On a une unité lourde, menée par un seigneur avec un bouclier… En bois…

Et voilà pour ce nouveau gros morceau de l’armée qui aura ainsi bien avancé ! Le prochain article dès que j’aurai pu me constituer un petit établi dans mon nouvel appartement. Le plutôt possible j’espère…

A bientôt et continuez à faire rouler les dés !